DC Field | Value | Language |
dc.contributor.author | Driadi, Ryad | - |
dc.contributor.author | Encadré par : BOURENANE, Lydia | - |
dc.date.accessioned | 2024-11-24T10:12:16Z | - |
dc.date.available | 2024-11-24T10:12:16Z | - |
dc.date.issued | 2024-07-18 | - |
dc.identifier.uri | http://dspace.esgen.edu.dz:8080/xmlui/handle/123456789/634 | - |
dc.description | 114 p | en_US |
dc.description.abstract | Depuis l’apparition de ce qui se rapproche le plus de l’audit moderne en 19e
siècle,
la fonction est passée par plusieurs phases d’évolution, de la vérification exhaustive des
documents en rapport aux charges et produits à l’introduction de l’échantillonnage et en
passant par l’appuie sur le contrôle interne, la dernière grande évolution dans la
méthodologie générale d’audit mise à part l’introduction des outils technologiques est sans
doute l’approche par les risques qui fut un changement structurant de l’audit financier
comme pratiqué de nos jours, il semble donc pertinent d’aborder un thème aussi vaste que
l’audit par le prisme d’un risque, celui de la fraude en particulier car étant inhérent à toutes
entités tout en ayant un rapport particulier à l’audit, car en effet, audit et fraude
entretiennent une relation conflictuelle nourrit pas un débat portant sur la définition des
frontières des objectifs des audits financiers avec le risque lié à la fraude, ce débat a pris de
l’ampleur dans un contexte ou l’harmonisation et la normalisation des pratiques d’audit et
de comptabilité n’étaient encore qu’un souhait. Bien qu’aujourd’hui les objectifs de l’audit
financiers soient définis, la dissonance entre la réalité et l’attente du public reste de guise.
Ce mémoire représente une tentative de définition du rôle de l’auditeur externe vis-à-
vis du risque de fraude, et l’appréciation de ce qui est appliqué en réalité à travers
une étude cas portant sur un client de PwC Algérie. Il a été constaté que le rôle de
l’auditeur quant à la gestion du risque de fraude est défini par la norme ISA 240
comme l’apport d’une assurance raisonnable quant au risque de fraude et ceci
implique principalement la couverture du risque de Management Override of
Controls et le déploiement des procédures d’imprévisibilité, en mettant en place, de
façon respective, des travaux substantifs sur les entrées de journaux (JETs) et des
travaux substantifs sur un élément dont l’audit ne peut être attendu par l’audité, les
travaux sur le chiffre d’affaire couvre aussi indirectement le risque de fraude. | en_US |
dc.language.iso | fr | en_US |
dc.publisher | Ecole Supérieure de Gestion et d’Economie Numérique | en_US |
dc.subject | Audit | en_US |
dc.subject | Fraude | en_US |
dc.subject | CAC | en_US |
dc.subject | ISA | en_US |
dc.subject | Risque | en_US |
dc.subject | Big Four | en_US |
dc.title | L’Audit Externe et La Gestion du Risque de Fraude | en_US |
dc.title.alternative | CAS : Client du Cabinet PwC | en_US |
dc.type | Thesis | en_US |
Appears in Collections: | Audit et contrôle de gestion
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